Arts et culture pour tous

Parce que l'art nourrit la compréhension du monde. Sur le Net, veille informative et actualité des expositions, interactivité et convivialité autour des oeuvres. Ou en direct, histoire des arts en cours du soir et sorties culturelles. Pour participer à des visites d'expositions, de galeries et de musées, découvrir des ateliers d'artistes, rencontrer d'autres amateurs d'art et échanger dans un espace propice au dialogue.

Nom :
Lieu : Montpellier, Hérault, France

Nos propositions s’appuient sur des recherches personnelles complétant un parcours universitaire, une pratique et une formation en arts plastiques privilégiant l’approche des arts dits contemporains, une spécialisation en histoire de l’art médiéval. Ces complémentarités associées à l’intervention auprès de publics diversifiés fondent notre action au service de l’éducation populaire.

samedi 30 septembre 2006

Si vous avez manqué notre première séance à Lunel

Après la conférence de vendredi dernier (voir compte rendu sur notre message de samedi), le vendredi 29 septembre avait lieu la véritable reprise à Lunel.

En introduction, c'est autour d'interrogations sur les usages de l'art que porteront nos premières séances, en privilégiant l'oeuvre telle qu'elle se présente, avant l'histoire qui l'entoure. Les thématiques sur les usages de l'art sont innombrables. Elles nous donneront l'occasion d'approcher une diversité d'oeuvres nous permettant de définir collectivement nos priorités de travail pour l'année en conjuguant les attentes personnelles, l'actualité des expositions et les fondamentaux de l'histoire de l'art.

Privilégier l'oeuvre, c'est d'abord et avant tout s'intéresser à ce qui nous est donné à voir : apprendre à regarder, faire confiance à son regard, se donner une chance de découvrir.
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"Nous savons clairement que la vision est une des plus rapides opérations qui soient, car dans le même instant elle embrasse un nombre infini de formes ; néanmoins elle ne peut comprendre qu'une chose à la fois. Voici un exemple : tu peux, ô lecteur, voir d'un coup d'œil l'ensemble d'une page écrite ; tu jugeras aussitôt qu'elle est remplie de lettres diverses, mais dans ce laps de temps tu ne reconnais pas ces lettres ni leur sens, et pour en avoir connaissance il te faut les lire mot à mot et ligne par ligne."

Les carnets de Léonard de Vinci.
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Une œuvre ne se livre pas dès les premiers instants et peut créer divers sentiments chez celui qui la regarde : malaise, adhésion, attirance, séduction, rejet, choc, etc. Elle peut parfois aussi intimider. Toutefois, l'art n'est évidemment pas uniquement affaire de spécialistes et tout spectateur est capable de restituer sa propre vision d'un tableau, par exemple, et de décrire la manière dont il reçoit ce qui figure sur la toile.

Notre orientation pédagogique vise à permettre à chacun de livrer sa perception personnelle et d'apprécier la pertinence de son propre regard. Les séances favorisent également l'acquisition progressive d'un vocabulaire commun se rattachant à la description des oeuvres (matérialité, structure et composition), sans pour autant occulter les notions de style ou d'histoire.

Pour cette première séance, nous avons présenté deux portraits peints que le groupe devait décrire. Décrire n'est pas interpréter. L'analyse descriptive (ce que je vois) doit être la plus complète possible, avant de formuler des tentatives ou hypothèses d'interprétation (ce que je comprends), auxquelles peuvent s'associer des perceptions (ce que je ressens).

Le portrait consiste à représenter l’apparence extérieure d’une personne, mais aussi en fonction de l'expressivité rendue, de témoigner de réalités plus intérieures.

Le portrait est un genre dont l'origine est très ancienne. L'apparition du portrait sur les monnaies dans la civilisation grecque daterait du Vè siècle avant J.-C. On se souvient des oeuvres liées à l'art funéraire égyptien présentées l'an dernier avec les émouvants portraits trouvées dans l’oasis du Fayoum et dont l'origine est située au II siècle après J.-C. (voir image dans message du 2 août en archives). On pense également au culte des ancêtres chez les romains ou à la présence très réaliste des empereurs romains, avec les bustes affirmant leur autorité que nous avons vus également l'an dernier. A partir de la fin du Moyen Age et de la Renaissance, la place du portrait devient prépondérante, et puissants et gouvernants font représenter avec faste l'image de leur pouvoir moral, politique ou économique, quand il ne s'agit pas simplement d'afficher l'image de leur rang social (bourgeois ou commerçants).
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Rappel succinct des tableaux présentés.



Balthazar Castiglione. 1514-1515
(on trouve également en italien, Baldassare)
Huile sur toile, 82 x 67 cm
Musée du Louvre, Paris.
Raffaello Santi dit Raphaël (1483-1520).
Peinture italienne.

Restituer un caractère :
issu d'un milieu très cultivé, gentilhomme accompli et parfait homme de cour, c'est Castiglione, ami de Raphaël qui a commandé son portrait réalisé vraisemblablement à Rome alors qu'il venait d'être nommé ambassadeur auprès du pape par le duc d'Urbin (la cour d'Urbin était au XVIè siècle, la plus raffinée d'Italie). Le calme et l'harmonie qui se dégagent du tableau sont frappants : choix des couleurs dans une palette réduite à l'harmonie subtile, ombres et lumières en demi-teintes sur un fond neutre (grège), puissance des noirs, élégance du modèle mais sans ostentation (réserve), sobriété, distinction, image d'un diplômate paisible et sûr de lui, au caractère paraissant aussi soyeux que les étoffes de son habit, sans doute l'un des plus beaux portraits de Raphaël, dont toute la subtilité émerge après un premier regard qui pourrait nous faire apparaître ce visage comme familier.
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Jeune fille au turban
ou jeune fille à la perle
vers 1660-65
Huile sur toile, 46,5 x 40 cm
Mauritshuis, La Haye
Johannes (Jan) Vermeer (1632-1675).

Suspendre la course du temps : C'est tout le contraire du portrait précédent très posé que nous livre ici Vermeer. Voici un portrait qui fonctionne comme un instantané, comme si la jeune fille venait de se retourner, comme si le temps s'était arrêté sur ce regard. Qui est cette jeune fille anonyme ? Le mystère ne sera pas levé. L'œuvre est signée mais non datée, probablement peinte vers 1665-1666. Malraux la comparait à un "galet translucide", d'autres n'hésitent pas à qualifier de "Joconde du Nord" ce portrait réalisé à partir d'éléments chromatiques simples : un glacis mince de couleur chair quasi transparent pour la carnation de porcelaine du visage, des touches plus claires pour illuminer le regard et de petites notes roses à rouge pour donner du moelleux aux lèvres de la bouche entrouverte qui semble parler, le fond noir la rendant plus éclatante encore et créant un contraste maximum avec la clarté du visage et le regard humide, les contours flous, le mélange d'outremer et de blanc du turban répondant au jaune éclatant de la retombée du tissu dont il est surmonté, l'ocre plus clair de la veste contrastant avec le blanc du col qui se reflète dans la perle. La lourde perle dont tout le volume sphérique argenté n'apparait pas toujours à la première lecture de l'image.
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Pour terminer la séance dans un tout autre univers, nous nous sommes plongés dans les Etats Unis des années quarante avec Edward Hopper.

Nighthawks.
"Les rôdeurs nocturnes"
ou "Noctambules"
1942
Huile sur toile
84,1 x 152,4 cm
Art Institute of Chicago

Edward Hopper
(1882-1967)

Décrire une atmosphère : dans la lumière crue des néons du Phillies à Greenwich village, quartier de Manhattan, la scène décrite par Hopper dans Nighthawks semble tout droit sortie d'un décor de cinéma. Elle rappelle également l'univers de la BD. (Edward Hopper a d'abord fait des études d'illustrateur à New York). Quelques formes géométriques simples, une peinture faite de larges aplats de couleurs, des verticales, des horizontales et quelques diagonales fortes suffisent à structurer le tableau ou l'orangé des façades de magasins répond au vert de l'interminable devanture sans porte du "diner" (restaurant typique américain).

Tard dans la nuit, un client isolé et un couple sont assis au comptoir d'un bar. La lumière criante des néons heurte durement la nuit tombée sur la ville. La rue est vide et aucun des personnages ne semble ni regarder ni parler aux autres, tous semblent plongés dans de profondes pensées. Un homme au costume sombre et chapeau feutre et une femme vêtue de rouge, visibles de face, forment un couple. Un troisième homme également costume sombre et chapeau feutre est représenté de dos. Le serveur s'affaire machinalement au comptoir, le regard semblant perdu dans le lointain de la fenêtre. Thème redondant à travers l'oeuvre de Hopper, cette scène urbaine décrivant le vide des rues désertes et la solitude des personnages incapables de communiquer est le tableau le plus célèbre de Hopper et également l'un des plus marquants de l'art américain.

Peintre américain dont la production est caractérisée par ses univers pétris de solitude : stations service, motels, voies ferrées, rues désertes, immeubles, paysages nationaux et leurs habitants, Hopper a figuré au catalogue de l'exposition présentée au pavillon du musée Fabre à Montpellier du 13 avril au 23 juin 2002 "made in USA", l'art américain de 1908 à 1947. Se rattachant à un courant de pensée qui traite avec réalisme le quotidien, il dresse un portrait sans concession de la société américaine de son époque où la réalité est omniprésente.
(House at Dusk, 1935)

mardi 26 septembre 2006

Séance du vendredi 29 septembre 2006 à Lunel

Après la conférence publique du vendredi 22 septembre, c'est le vendredi 29 septembre qu'aura lieu la reprise des cours à Lunel.

En introduction, nous évoquerons les nombreuses thématiques sur les usages de l'art. Elles seront l'occasion :

- d'approcher une diversité d'oeuvres nous permettant de définir collectivement les priorités de travail du groupe pour l'année en conjuguant à la fois attentes personnelles, l'actualité des expositions et fondamentaux de l'histoire de l'art,

- d'étudier différents genres en peinture, portrait, paysage et nature morte notamment.

Oeuvres programmées :

Balthazar Castiglione. 1514-1515
(on trouve également en italien, Baldassare)
Huile sur toile, 82 x 67 cm
Musée du Louvre, Paris.
Raffaello Santi dit Raphaël (1483-1520).
Peinture italienne.

Jeune fille au turban
ou jeune fille à la perle
vers 1660-65
Huile sur toile, 46,5 x 40 cm
Mauritshuis, La Haye
Johannes (Jan) Vermeer (1632-1675).

Nous terminerons la séance en nous plongeant dans un tout autre univers, les Etats Unis des années quarante avec Edward Hopper.

Nighthawks.
"Les rôdeurs nocturnes"
ou "Noctambules"
1942
Huile sur toile
84,1 x 152,4 cm
Art Institute of Chicago
Edward Hopper (1882-1967)

Compte rendu de la séance précédente


lundi 25 septembre 2006

Avis aux retardataires :

Cette fois, la rentrée a bien eu lieu et si vous ne l'avez pas encore réalisée, votre inscription doit maintenant être effective auprès de l'accueil pour pouvoir continuer à bénéficier de vos activités.

La carte MJC vous donne la qualité d'adhérent à l'association et à ce titre vous garantit dans vos activités, vous permet de voter en assemblée générale, de participer à diverses consultations ou aux travaux de différentes commissions. L'adhésion n'est perçue qu'une seule fois pour l'année. Elle est différente de la cotisation à l'activité qui sert au financement de l'atelier. Pour être sûr(e)(s) de pouvoir suivre celui de votre choix, il vous faut aujourd'hui sans tarder vous présenter à l'accueil pour confirmer votre inscription par le règlement de votre adhésion et cotisation d'activité.

dimanche 24 septembre 2006

Conférences

Nous étudions toutes demandes de conférences à l’initiative d’institutions et d'opérateurs divers (structures culturelles, équipements socio-culturels, collectivités, associations) et adressées par E-mail à partir du lien Contact. Pour en savoir plus, cliquez sur les liens suivants :


- Marie-Madeleine, de l'écriture à la légende.

Pour découvrir ou redécouvrir les œuvres magnifiques que ce personnage mythique des premiers temps chrétiens a inspirées. en savoir plus
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- Frida Khalo, peindre et lutter, le combat d'une vie.

Pour parcourir une oeuvre de 150 tableaux de l'artiste mexicaine qui fut la compagne du peintre muraliste Diego Riveira, et l'amie d'André Breton, de Marcel Duchamp, de Pablo Neruda, de Léon Trotski, et dont 2007 celèbrera le centenaire de la naissance.


samedi 23 septembre 2006

Notre prochaine conférence aura lieu :

à la MJC de Mauguio,
ce jeudi 28 septembre 2006
à 19 h
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MARIE-MADELEINE,
de l'écriture à la légende


Pour découvrir ou redécouvrir les oeuvres magnifiques que ce personnage mythique des premiers temps chrétiens a inspirées.

Entrée libre
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MJC de Mauguio,
ce jeudi 28 septembre 2006
à 19 h
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Invitez-y vos amis et vos proches. Ouverture des portes et accueil du public : 30 minutes avant le début de la conférence. Et si vous l'avez manquée à Lunel, vous pouvez naturellement y assister à Mauguio.

Conférence

Marie-Madeleine, de l'écriture à la légende

La première de la saison s'est tenue le vendredi 22 septembre à Lunel : elle a réuni une vingtaine de personnes pour une présentation commentée d'une soixantaine d'œuvres parmi lesquelles des scènes narratives très expressives de la sculpture et de la peinture italienne, flamande et française des XIIè au XVIè siècles : retables, tempera, huiles, statues polychromées, chapiteaux de colonnes du XIIè, et naturellement les merveilleuses fresques italiennes du trecento de Giotto à Assise et à Padoue, mais aussi des anonymes et quelques tableaux provençaux peu connus.

Abondante et magnifique chevelure, vase à parfums, riches étoffes de la mondaine, ample tunique rouge écarlate, signe de la passion, les attributs ne manquent pas pour identifier à coup sûr ce personnage de légende.

Singulier destin que celui de Marie, la magdalénienne que Jésus délivra de ses démons. Elle était présente au pied de la croix, puis assista à la mise au tombeau, et le matin de Pâques, rencontra le ressuscité avant d'aller porter la bonne nouvelle devenant ainsi l'apôtre des apôtres. La tradition la décrit pénitente et solitaire à la fin de sa vie dans la grotte de la Sainte-Baume après avoir évangélisé la Provence.

L
ieu de pélerinage et lieu de vénération autant populaire que des grands de ce monde depuis des siècles, la Sainte-Baume reste l'espace symbolique de cette figure mythique dont le R.P. Lacordaire, n'avait-il pas lui-même écrit : "qu'importe qu'elle y soit venue ou non, elle y est".

Les sources évangéliques apparaissent bien ténues au regard de la richesse et de la diversité des représentations d'un personnage qui mêle histoire, légendes, croyances populaires et traditions séculaires. Aussi, c'est dans la tradition hagiographique chrétienne (La légende dorée de Jacques de Voragine au XIIIè siècle, notamment), elle-même inspirée de vies antérieures (manuscrits du Vè siècle sur l'apostolat provençal de la Sainte) et dans les origines du théâtre (jongleurs et bateleurs, théâtre religieux, drames liturgiques et mystères) qu'il faut rechercher l'inspiration des scènes largement diffusées à partir du Moyen Age.

Un article à lire ...

L'éditorial d'André Rouillé "entre marché et patrimoine" sur le site paris-art.com.

Après les récentes Journées du Patrimoine et alors que s'annoncent pour les prochaines semaines la Fiac et la Nuit blanche, André Rouillé livre ses réflexions sur les problématiques relations entre marché et création. De manifestations en foires et marchés, la création contemporaine en bute aux logiques marchandes se voit réduite "à un territoire trop exigu". Rouillé analyse la "ressemblance inversée" entre l'art "consacré" du patrimoine et la "légitimité artistique encore incertaine" de l'art contemporain et ses objets "toujours problématiques". Accès à l'article en cliquant sur le lien suivant (ou en le copiant/collant dans votre navigateur ) :

dimanche 17 septembre 2006

Dimanche ensoleillé, c'était le dimanche 10 septembre sur le port de Carnon pour la foire aux associations : après avoir accueilli un public nombreux, l'équipe de la MJC inaugurait ses nouveaux locaux.

Midi-Libre, édition "Littoral" merc.13 sept 2006. Photo Coste.
Pour l'agrandir : un premier clic isole l'image dans votre navigateur,
un second clic sur l'image vous permet de la visionner à la taille écran,
puis retour au site avec la flèche "reculer d'une page ",
en haut à gauche.

Mercredi pluvieux
, c'était ce mercredi 13 septembre pour les portes ouvertes à la MJC de Mauguio. Le repli stratégique dans les salles d'activités a permis d'accueillir un public nombreux que la pluie n'a pas suffi à décourager.

Dimanche venteux, ce dimanche 17 septembre pour la fête des associations au parc Jean Hugo de Lunel. Forte affluence du public pour un événement attendu.
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Nous étions présents à chaque fois lors de ces trois rendez-vous importants de la rentrée, pour diffuser et commenter nos programmes, pour répondre aux questions et conseiller, pour signaler nos manifestations à venir :

- La semaine d'activités à l'essai du lundi 18 au samedi 23 septembre,

- Nos conférences de rentrée, dont la première aura lieu à la MJC de Lunel

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MARIE-MADELEINE,
de l'écriture à la légende


Pour découvrir ou redécouvrir les oeuvres magnifiques que ce personnage mythique des premiers temps chrétiens a inspirées.

Entrée libre

Vendredi 22 septembre 2006
à 19 h
MJC de Lunel

Invitez-y vos amis et vos proches. Ouverture des portes et accueil du public : 30 mn avant le début de la conférence.

Affluence légèrement supérieure à celle de l'an dernier pour les 23è Journées du Patrimoine note le Ministère de la Culture dans une dépêche de l'AFP de ce dimanche 17 septembre à 18 h30. Le nombre des visiteurs a dépassé les 12 millions parmi les 15 000 sites ouverts. Les "Palais " de la République ont toujours la faveur du grand public.

vendredi 15 septembre 2006

Journées européennes du Patrimoine
les Samedi 16 et Dimanche 17 septembre 2006

Depuis 1984, les Journées européennes du Patrimoine sont devenues le rendez-vous annuel de la rentrée pour plus de 12 millions de visiteurs qui témoignent de l’intérêt des Français pour l’art et les lieux chargés d'histoire.

Un patrimoine diversifié est accessible à tous, architecture civile et religieuse, architecture industrielle ou agricole, parcs et jardins, sites archéologiques, châteaux, musées, demeures historiques et plus encore, pour des ouvertures exceptionnelles et parfois des premières ouvertures au public.

Les Journées du Patimoine, tous les sites, ville par ville avec Cityvox

Les coups de coeur, région par région (choix "rechercher") sur le site du Ministère de la Culture.

Bonnes visites !

jeudi 14 septembre 2006

ATTENTION !

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Cette fois, c'est bien la rentrée et les inscriptions sont aujourd'hui ouvertes pour l'ensemble des ateliers. Pour être sûr(e)(s) de pouvoir suivre celui de votre choix, il vous faut confirmer votre inscription à l'accueil, même si vous avez réalisé une préinscription lors de nos contacts.

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lundi 4 septembre 2006

Sur votre agenda de la rentrée

Nous vous donnons rendez-vous :

- Le dimanche 10 septembre 2006
sur le port de Carnon de 10 à 18 h,

- Le mercredi 13 septembre 2006
de 15 h 30 à 19 h à la MJC de Mauguio,

- Le dimanche 17 septembre 2006
au parc Jean Hugo à Lunel
de 10 à 18 h.

dimanche 3 septembre 2006


Retrouvez toutes les informations
pour la rentrée
sur le message
du samedi 5 août !

Que nous disent ces oeuvres qui ont traversé les siècles ?

L'art vous intéresse ? Vous préparez un voyage culturel ? Vous désirez simplement nourrir votre curiosité et votre soif de connaissances, ou alimenter votre pratique artistique ?


Retrouvez-nous pour explorer des territoires sans cesse renouvelés !

Pour la rencontre avec soi-même à partir des échanges avec les autres. "Tous les arts sont comme des miroirs où l'homme connait et reconnait quelque chose de lui-même qu'il ignorait." Alain.

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Nouveau :

Le bilan (extrait) de la saison écoulée est enfin disponible !

C'est le message du 2 août, tout à fait en fin de liste.

S'il n'apparait pas en déroulant l'écran,
ou s'il n'est plus accessible par la liste des messages récents,
ouvrez "août 2006" dans les Archives

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