Séance du vendredi 4 mai à la biennale photo
Comme prévu, nous nous retrouverons à Lunel-Viel pour la première biennale de la photographie en pays de Lunel.
Le vernissage a lieu à 18 h 30 dans le parc du chateau de l'hôtel de ville. Le parc est ouvert au public dès 14 h. Il est donc possible d'arriver plus tôt pour commencer par découvrir les expositions présentées, mais ne manquez pas le vernissage à 18 h 30. Et surtout, vous pourrez repartir avec le magnifique catalogue d'exposition et peut-être le numéro spécial de Fotocittà spécialement réalisé pour l'occasion. Prévoir une soirée plus longue qu'habituellement pour vous permettre de visionner les différentes projections proposées et de rencontrer les auteurs présents sur les lieux.
Entièrement dédié à la Biennale, le parc de l’Orangerie accueillera la riche programmation de cette première édition qui a obtenu le soutien de la ville de Lunel-Viel et de la communauté de communes du pays de Lunel. Près d’une vingtaine d’expositions sont proposées au public durant ce festival qui réunit des artistes à découvrir et différents auteurs reconnus à travers leur production pour la presse ou l’édition. Leur dénominateur commun : avoir fait le choix de s’exprimer au sein de collectifs de photographes indépendants, structures légères offrant la meilleure logistique pour le partage des informations et fédérant les énergies permettant de répondre à des commandes institutionnelles, de soutenir la création et de diffuser leur production.
Arnaud Laroche. Seaside.
Dans l’un des plus anciens villages de la région, le vaste espace naturel du parc arboré abritant une orangerie de style Napoléon III a inspiré certains photographes qui y trouvent matière à différentes installations in situ parmi lesquelles le public pourra se laisser surprendre par un accrochage en liberté, tant dans les formats que dans les supports. Avec des œuvres qui révèlent les préoccupations actuelles de la photographie contemporaine, les auteurs témoignent de leur présence au monde, et évoquent leurs relations aux autres. Préoccupations environnementales, questions d’identités, regards critiques sur une réalité tantôt contrariée, tantôt sublimée, autant d’interrogations traversant une production qu’il serait illusoire de vouloir réduire à une seule catégorie (reportage, photographie documentaire, plasticienne, conceptuelle). Une pratique en tous cas qui échappe au conformisme et se trouve légitimée par son ancrage dans une réalité humaine ou sociale qu’elle ne cesse d’interroger. Une pratique photographique qui n’écarte toutefois pas les recherches formelles ni les problématiques artistiques liées à la place de la photographie au sein des arts plastiques : réel et réalité perçue, champ et hors champ, dedans et dehors, inclusion et exclusion, limites, frontière, etc.
Avec la vingtaine d'expositions et les projections proposées lors de la soirée de vernissage, ce sont les travaux d'une trentaine d'artistes qui seront présentés au public offrant un large panorama de la création photographique actuelle.
Serge Gal. Mazet.
Dans une région bipolarisée autour de deux grandes manifestations : les Rencontres Internationales de la Photographie d’Arles, et le festival Visa pour l’image à Perpignan, on assiste depuis une dizaine d’année à l’émergence des collectifs d’artistes qui, au-delà de la diffusion de leurs créations, y voient le moyen de mieux inscrire leur pratique photographique dans la vie de la cité et d’être de véritables interlocuteurs ou partenaires des différents opérateurs culturels et décideurs locaux. C’est sans thématique ou sélection imposée, ni commissariat d’exposition, que les collectifs de photographes du Gard et de l’Hérault proposent de découvrir leurs travaux.
Les collectifs : Transit/Noir d’Ivoire/Les Photographes Anonymes/La Maison de la Photographie Méditerranée/Ferdinand F/En Vue/Clair Obscur.
Les photographes : Serge Gal, Nadine Béteille, Bruno Badoux, Christophe Schirmer, Thierry Clavel, Jean Marc Navech, Suzanne Klein, Jacques Fournier, Pierryl Peytavi, Denis Anceau, Mabel Zarama, Catherine Tauveron, Yann de Fareins, Arnaud Laroche, Christian Maccotta, Mariusz Sapinski, Peter Vass, Jacques Lafont, Philip Vagelli, Jean Paul Lejeune, Bernard Bouyé, Dominiq Peyronnier, Alexandra Frankewitz, Alexa Brunet, David Richard, Bastien Defives, Nanda Gonzague, Delphine Devillers, Chris Kaizer, Nicolas Reboul.
Accès : Depuis la RN 113, dans la traversée de Lunel-Viel, en arrivant de Montpellier, c'est à droite, en arrivant de Lunel, c'est à gauche, prendre la direction hôtel de ville. La tour du chateau est visible de loin.
Le vernissage a lieu à 18 h 30 dans le parc du chateau de l'hôtel de ville. Le parc est ouvert au public dès 14 h. Il est donc possible d'arriver plus tôt pour commencer par découvrir les expositions présentées, mais ne manquez pas le vernissage à 18 h 30. Et surtout, vous pourrez repartir avec le magnifique catalogue d'exposition et peut-être le numéro spécial de Fotocittà spécialement réalisé pour l'occasion. Prévoir une soirée plus longue qu'habituellement pour vous permettre de visionner les différentes projections proposées et de rencontrer les auteurs présents sur les lieux.
Yann de Fareins. Nature Morte.
Entièrement dédié à la Biennale, le parc de l’Orangerie accueillera la riche programmation de cette première édition qui a obtenu le soutien de la ville de Lunel-Viel et de la communauté de communes du pays de Lunel. Près d’une vingtaine d’expositions sont proposées au public durant ce festival qui réunit des artistes à découvrir et différents auteurs reconnus à travers leur production pour la presse ou l’édition. Leur dénominateur commun : avoir fait le choix de s’exprimer au sein de collectifs de photographes indépendants, structures légères offrant la meilleure logistique pour le partage des informations et fédérant les énergies permettant de répondre à des commandes institutionnelles, de soutenir la création et de diffuser leur production.Arnaud Laroche. Seaside.
Dans l’un des plus anciens villages de la région, le vaste espace naturel du parc arboré abritant une orangerie de style Napoléon III a inspiré certains photographes qui y trouvent matière à différentes installations in situ parmi lesquelles le public pourra se laisser surprendre par un accrochage en liberté, tant dans les formats que dans les supports. Avec des œuvres qui révèlent les préoccupations actuelles de la photographie contemporaine, les auteurs témoignent de leur présence au monde, et évoquent leurs relations aux autres. Préoccupations environnementales, questions d’identités, regards critiques sur une réalité tantôt contrariée, tantôt sublimée, autant d’interrogations traversant une production qu’il serait illusoire de vouloir réduire à une seule catégorie (reportage, photographie documentaire, plasticienne, conceptuelle). Une pratique en tous cas qui échappe au conformisme et se trouve légitimée par son ancrage dans une réalité humaine ou sociale qu’elle ne cesse d’interroger. Une pratique photographique qui n’écarte toutefois pas les recherches formelles ni les problématiques artistiques liées à la place de la photographie au sein des arts plastiques : réel et réalité perçue, champ et hors champ, dedans et dehors, inclusion et exclusion, limites, frontière, etc.Nanda Gonzague. Sévesie.
Avec la vingtaine d'expositions et les projections proposées lors de la soirée de vernissage, ce sont les travaux d'une trentaine d'artistes qui seront présentés au public offrant un large panorama de la création photographique actuelle.Serge Gal. Mazet.
Dans une région bipolarisée autour de deux grandes manifestations : les Rencontres Internationales de la Photographie d’Arles, et le festival Visa pour l’image à Perpignan, on assiste depuis une dizaine d’année à l’émergence des collectifs d’artistes qui, au-delà de la diffusion de leurs créations, y voient le moyen de mieux inscrire leur pratique photographique dans la vie de la cité et d’être de véritables interlocuteurs ou partenaires des différents opérateurs culturels et décideurs locaux. C’est sans thématique ou sélection imposée, ni commissariat d’exposition, que les collectifs de photographes du Gard et de l’Hérault proposent de découvrir leurs travaux.Les collectifs : Transit/Noir d’Ivoire/Les Photographes Anonymes/La Maison de la Photographie Méditerranée/Ferdinand F/En Vue/Clair Obscur.
Les photographes : Serge Gal, Nadine Béteille, Bruno Badoux, Christophe Schirmer, Thierry Clavel, Jean Marc Navech, Suzanne Klein, Jacques Fournier, Pierryl Peytavi, Denis Anceau, Mabel Zarama, Catherine Tauveron, Yann de Fareins, Arnaud Laroche, Christian Maccotta, Mariusz Sapinski, Peter Vass, Jacques Lafont, Philip Vagelli, Jean Paul Lejeune, Bernard Bouyé, Dominiq Peyronnier, Alexandra Frankewitz, Alexa Brunet, David Richard, Bastien Defives, Nanda Gonzague, Delphine Devillers, Chris Kaizer, Nicolas Reboul.
Accès : Depuis la RN 113, dans la traversée de Lunel-Viel, en arrivant de Montpellier, c'est à droite, en arrivant de Lunel, c'est à gauche, prendre la direction hôtel de ville. La tour du chateau est visible de loin.
posted by Arts et culture pour tous | 23:48
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